Alain Ricaud, Ami de La Vie en Savoie a profité du confinement pour écrire un essai qui s’appuie -entre autres- sur les travaux de nos universités d’hiver.
Alain Ricaud, Ami de La Vie, nous envoie un faire-part de naissance. Un bébé du confinement. Le 20 avril 2020, reclus depuis un mois dans sa maison à énergie positive près de Chambéry, il s’est lancé dans la rédaction d’un livre – d’une somme !- pour nous aider à envisager l’avenir autrement.
L’ouvrage est désormais disponible, offert en PDF à qui en fera la demande par mail à l’auteur, (alain.ricaud@wanadoo.fr), en se présentant en quelques mots. Ingénieur, ancien chef d’entreprise, Alain Ricaud a déjà publié une demi-douzaine d’ouvrages sur l’énergie solaire, ainsi qu’une analyse de Laudato Si, avec Fabien Revol (« Une encyclique pour une insurrection écologique des consciences », Parole et Silence, 2015).
Celui qu’il propose aujourd’hui intéresse particulièrement les Amis de La Vie car une large partie de son contenu est inspirée par les travaux des « universités d’hiver » organisées à Belley et à Chambéry entre 2014 et 2019. Son titre, « La corruption du meilleur a engendré le pire. A la recherche des bonnes limites ».
On y croise les penseurs de la décroissance et de l’enracinement : Diogène, Epicure, François d’Assise, Henry David Thoreau, Nicolas Georgescu-Roegen, Simone Weil, Bernard Charbonneau, André Gorz, Jacques Ellul, Serge Latouche, Bruno Latour, le Pape François et Cyril Dion et bien sûr Ivan Illich à qui le titre est emprunté.
Dominique Fonlupt